Au début, on ne sait pas qu’on ne sait pas.
𝗘𝘅𝗲𝗺𝗽𝗹𝗲: avant d’avoir entendu parler de coronavirus, aucune idée de l’existence de ce truc.
Un jour, on prend connaissance de ce quelque chose de nouveau et là, 𝗣𝗔𝗙! C’est le début de la misère.
Parce que se rendre compte qu’on ne sait pas, c’est tout sauf agréable. C’est frustrant. Ça met parfois en péril l’estime de soi. Ça provoque l’énervement ou l’impatience, peut-être.
Bref, c’est un moment pourri qu’il faut pourtant traverser si l’on veut à un moment donné devenir compétent-e.
Le modèle qui m’aide et que je souhaite partager aujourd’hui avec vous, c’est celui des 𝗻𝗶𝘃𝗲𝗮𝘂𝘅 𝗱’𝗮𝗽𝗽𝗿𝗲𝗻𝘁𝗶𝘀𝘀𝗮𝗴𝗲.
Il décrit les étapes du processus d’apprentissage et permet de comprendre ce qu’apprendre implique très concrètement. Et j’ai l’intime conviction que comprendre ce qui se passe aide immensément à ce que ça se passe beaucoup mieux: pouvoir choisir plutôt que de subir.
Pouvoir en rire, surtout.
𝗡𝗼𝘁𝗲: il existe un 5ème niveau dont je ne parle pas dans la vidéo qui concerne la transmission des savoirs.
Bonne découverte!