Passez votre test de QI avec un NeuroGuide

Un chemin pour mieux se comprendre

Le test de QI est souvent perçu comme un moyen d’obtenir un chiffre qui nous « catégorise » dans un groupe spécifique et porte en lui de lourds enjeux identitaires. Et si, au lieu de cela, ce test devenait un outil de découverte, une boussole pour mieux comprendre votre fonctionnement?

Pierre et moi nous sommes donné comme mission d’être vos NeuroGuides afin de vous permettre d’envisager cette démarche comme un puissant moyen de mieux vous connaître et vous comprendre vous-même. Plutôt que de vous enfermer dans des clichés, repartez avec votre propre carte neurocognitive pour guider votre vie avec les bons outils.

Pourquoi passer un test de QI ?

Dans un monde qui valorise la conformité, il est facile de se sentir décalé ou incompris lorsqu’on a un haut quotient intellectuel (HQI) ou que l’on est neuroatypique (HPI). Le test WISC pour les enfants ou WAIS pour les adules n’est pas là pour vous coller une étiquette, mais pour vous donner des clés pour accéder à votre propre carte routière neurocognitive.

C’est une façon d’aller au-delà des croyances pour enfin comprendre comment votre cerveau fonctionne, pourquoi vous vous sentez parfois différent et comment utiliser cette différence pour avancer dans la vie.

Nos formules à choix

En tant que NeuroGuides, notre mission est de vous accompagner tout au long du processus de test pour que vous puissiez l’exploiter pleinement. Nous serons là pour vous soutenir dans l’intégration de vos spécificités dans votre vie quotidienne, ainsi que dans les montagnes russes émotionnelles qui, souvent, l’accompagnent.

Voici deux formules qui s’adaptent à vos besoins et à votre rythme:

Formule Test seul

Passez le test WAIS-IV en présentiel, à Genève, avec Pierre Février-Vincent, psychologue FSP spécialisé en neurodiversité. Cette formule comprend:

  • Anamnèse (1h): entretien initial pour établir un profil détaillé.
  • Test (1 à 2h): passation du test WAIS-IV.
  • Restitution (45 min): présentation des résultats pour une compréhension globale de votre profil.
  • Rapport personnel détaillé: un document qui synthétise les résultats du test et des entretiens.
 

Tarif : CHF 900

Formule complète

Vous souhaitez une approche plus complète? Nous vous proposons une formule en trois étapes alliant les expertises de Pierre et de Martine:

  1. Séance préparatoire avec Martine (1h30): avant de passer le test, bénéficiez d’un entretien avec Martine Corthésy pour explorer vos attentes implicites et vous préparer émotionnellement.
  2. Passation du test avec Pierre: comme dans la Formule « test seul », vous ferez l’entretien initial et passerez le test avec Pierre.
  3. Restitution en duo (1h30): débriefing approfondi pour comprendre vos résultats et mettre en place des stratégies concrètes pour la suite.


Tarif : CHF 1’740

Formule Test seul

Passez le test WAIS-IV en présentiel, à Genève, avec Pierre Février-Vincent, psychologue FSP spécialisé en neurodiversité. Cette formule comprend:

  • Anamnèse (1h): entretien initial pour établir un profil détaillé.
  • Test (1 à 2h): passation du test WAIS-IV.
  • Restitution (45 min): présentation des résultats pour une compréhension globale de votre profil.
  • Rapport personnel détaillé: un document qui synthétise les résultats du test et des entretiens.
 

Tarif : CHF 900

Formule complète

Vous souhaitez un accompagnement plus complet? Nous vous proposons une formule en trois étapes alliant les expertises de Pierre et de Martine:

  1. Séance préparatoire avec Martine (1h30): avant de passer le test, bénéficiez d’un entretien avec Martine Corthésy pour explorer vos attentes implicites et vous préparer émotionnellement.
  2. Passation du test avec Pierre: comme dans la Formule « test seul », vous ferez l’entretien initial et passerez le test avec Pierre.
  3. Restitution en duo (1h30): débriefing approfondi pour comprendre vos résultats et mettre en place des stratégies concrètes pour la suite.


Tarif : CHF 1’740

POURQUOI CHOISIR L'APPROCHE NeuroGuide ?

CENTRÉ SUR VOUS

Nous utilisons le bilan pour évaluer bien plus qu’un simple score. En tant que NeuroGuides, nous vous proposons un processus pour comprendre en profondeur votre fonctionnement unique et vous aider à créer des stratégies adaptées à vos besoins.

Expertises complémentaires

Nous sommes deux spécialistes en neurodiversité et en accompagnement des personnes à haut potentiel (HQI/HPI), avec une approche bienveillante et respectueuse.

Vision inclusive

Nous voyons la neurodiversité comme un ensemble de spécificités individuelles qui gagnent à être connues et comprises. Le test de QI, chez nous, n’est qu’un moyen de mieux comprendre comment vous fonctionnez et interagissez avec le monde. Une inestimable clé.

Questions fréquentes

Le WAIS mesure plusieurs dimensions cognitives. C’est la synthèse de ces dimensions qui permettent de résumer le résultat à un simple nombre. Si l’on considère les scores de 125 ou 130 nécessaires pour conclure à un HQI, la distribution des divers indices offre bien plus d’informations sur sa singularité, ses points forts et points faibles, voire permettent d’identifier d’autres caractéristiques (HPI ou troubles neurodéveloppementaux, par exemple).

Le test ne peut être que réussi, dans le sens qu’il donne des informations précises et précieuses sur la manière dont vous fonctionnez. La recherche d’un certain seuil est souvent motivée soit par des contraintes d’admissibilité dans certaines sociétés à QI élevé, comme Mensa, soit par l’image que renvoie le HPI. Or il n’y a pas de réussite ou d’échec dans un test de QI: le résultat, et plus encore les indices qui le composent, offrent une cartographie de certains processus internes. Le but n’est pas de prouver que vous avez un QI plus ou moins élevé, mais de comprendre vos forces et vos particularités.

La question est ambivalente: les recherches et études montrent en général une corrélation entre le score de QI et la réussite professionnelle, la santé, etc. Mais ces études parlent de manière générale. Or, de nombreuses personnes ayant un QI élevé n’ont pas nécessairement cette même réussite. D’une part car la notion de réussite est très subjective (parle-t-on de revenus, d’épanouissement, de liberté?), et d’autre part car le QI seul ne résume pas le parcours de chacun: émotion, personnalité, rencontre et hasards de l’existence viennent ponctuer chaque vie de manière singulière.

Le HPI peut par ailleurs participer activement à compenser des troubles ou des traits, du moins pendant un certain temps. C’est probablement de là que vient le mythe du HPI malheureux ou en échec constant.

En conclusion, un haut QI ne garantit ni le malheur, ni le bonheur. Ni l’échec, ni la réussite.

Absolument pas. Le score de QI est une mesure parmi d’autres. Il ne capture pas toutes les dimensions de l’intelligence ou de l’ensemble de vos productions cérébrales et cognitives, comme la créativité, la régulation des émotions ou l’adaptation aux défis de la vie quotidienne. Le WAIS vous aide à comprendre vos forces cognitives, ce qui contribue à une meilleure connaissance de vous-même.

Sur l’échelle de Wechsler, 130 est le score minimum pour entrer chez Mensa. La Triple Nine Society quant à elle exige 146 sur la même échelle. En-dehors de ces sociétés, un score de 125 peut permettre de conclure à un HPI. Voire, un score de 135 peut ne pas correspondre à un fonctionnement de HPI! Vous découvrirez peut-être des exceptionnalités dans certains domaines, des explications sur des processus cognitifs sur lesquels vous n’avez pas jusque-là mis la lumière. En conclusion, un score de 130 ou plus n’est pas synonyme de neurodivergence.

Le test WAIS peut effectivement révéler des indices de troubles neurodéveloppementaux comme le TDAH ou la dyslexie. Cependant, il doit être complété par d’autres évaluations spécifiques pour poser un diagnostic. Il peut néanmoins aider à comprendre les mécanismes cognitifs en jeu et à orienter vers des tests complémentaires si besoin.

Votre score au WAIS peut fluctuer en fonction de votre état émotionnel, de la fatigue ou du stress, mais les grandes lignes de votre profil cognitif resteront cohérentes dans le temps. Si vous passez le test dans de bonnes conditions, les résultats donneront un portrait fidèle de votre fonctionnement cognitif. Rappelons que le score ne fournit pas une valeur absolue mais indique, pour votre tranche d’âge, combien de personnes ont des scores au-dessus et au dessous. Toutes choses égales par ailleurs, à travers le temps on constate une certaine persistance des rangs. Certains facteurs peuvent cependant venir modifier cet ordre: dépression, médication, AVC, fatigue chronique, etc.

Le test WAIS est actuellement l’un des outils les plus fiables et les plus reconnus pour mesurer les processus cognitifs qui conduisent à l’identification d’un haut potentiel intellectuel (HPI). Cependant, il est important de combiner ses résultats avec une anamnèse et un entretien avec un psychologue pour avoir une vue d’ensemble de votre fonctionnement. Le HPI ne se limite pas à un test: il s’agit aussi de comprendre comment vous vivez et interagissez avec le monde. A noter que personne n’est HPI: certaines personnes ont un HPI.

En d’autres termes, les livres, le tests sur Internet et autres tests non standardisés ne permettent pas de valider la présence d’un HPI. Et le test HPI n’est pas infaillible: il arrive que certaines personnes « passent à côté ». Surtout si le test n’est pas conduit par un professionnel formé (en Suisse, psychologue FSP ou neuropsychologue).

Le but de ce test n’est pas de vous enfermer dans une case, mais au contraire de mieux comprendre votre fonctionnement unique. Le test WAIS est un outil pour explorer vos capacités, et non pour vous réduire à une simple étiquette. Ce n’est pas le chiffre qui compte, mais ce qu’il vous aide à découvrir sur vous-même.

Aussi, le test est un acte réalisé par un professionnel et les résultats sont personnels et confidentiels. Vous seuls connaissez le résultat. Vous avez donc la responsabilité de ce que vous en faites et d’à qui vous en parlez ou non.

Une exception cependant: si vous décidez de suivre notre programme commun, nous (Martine & Pierre) vous demanderons l’autorisation d’avoir tous les deux accès au rapport produit afin de mieux vous guider dans les prochaines étapes.

La distinction entre HQI (Haut Quotient Intellectuel) et HPI (Haut Potentiel Intellectuel) repose sur des nuances importantes. En général, les HPI sont considérés comme ayant non seulement un haut quotient intellectuel mais aussi des traits de fonctionnement cognitif et émotionnel particuliers qui les rendent souvent neuroatypiques. Par exemple, ils peuvent présenter une intensité émotionnelle, une pensée en arborescence, et des comportements ou sensibilités sensorielles qui les distinguent.

En revanche, un HQI (donc une personne ayant un quotient intellectuel élevé) n’est pas nécessairement neuroatypique. Il ou elle pourrait avoir un QI élevé sans manifester les caractéristiques associées à la neurodiversité, comme les particularités de pensée ou de fonctionnement émotionnel que l’on trouve souvent chez les HPI ou les personnes autistes.

Le terme qui engloberait à la fois les HQI et les HPI serait « personnes à haut potentiel », même si dans la pratique, on l’associe souvent davantage aux HPI. Si on souhaite être plus précis, on peut utiliser le terme « neurodivergent » pour désigner une personne dont le fonctionnement cognitif diffère de la norme (comme les HPI, les autistes, les personnes avec un TDAH, etc.).

Cependant, dire que tous les HQI non HPI sont « neurodivergents » pourrait prêter à confusion, car le terme « neurodivergent » est souvent associé à une différence de fonctionnement cognitive ou neurologique qui s’exprime par des traits visibles ou impactant le quotidien (comme pour les HPI, les autistes, etc.). Un HQI qui ne présente pas ces particularités pourrait ne pas être qualifié de neurodivergent au sens strict.

Donc, pour résumer :

  • HPI = Haut QI + traits de fonctionnement atypiques (souvent qualifiés de neuroatypiques).
  • HQI = Haut QI, mais pas forcément avec les traits associés aux HPI.
  • Neurodivergent = qui dévie de la norme neurologique (inclut HPI, autistes, TDAH, mais pas forcément tous les HQI).


Pour englober ces deux profils, on pourrait parler de personnes « à haut potentiel intellectuel » au sens large, tout en précisant les différences selon le contexte si nécessaire.

Passer un test peut vous donner des clés pour mieux comprendre vos pensées et vos émotions, ce qui peut effectivement améliorer votre bien-être. Cependant, ce n’est pas une garantie de bonheur. Ce qui compte, c’est ce que vous faites avec cette nouvelle compréhension de vous-même. Et puis, personne n’est HPI. Ce n’est pas une identité, mais un potentiel. Or, tout le monde a un potentiel, même s’il peut être de différentes natures. Ce qui est utile, c’est de savoir quoi en faire et comment le développer.

Tel Monsieur Jourdain qui faisait de la prose sans le savoir, une personne avec HPI utilise sa performance cognitive sans le savoir. Obtenir un haut résultat ne rend pas votre cerveau plus performant. Par contre, cela peut expliquer bon nombre d’histoires qui vous sont propres et contribuera certainement à une meilleure compréhension de vous-même, ainsi qu’une plus grande acceptation de vous-même. Ce qui mène généralement à un plus grand épanouissement, une fois que « la nouvelle réalité » est intégrée.

Il est normal de se sentir stressé avant de passer un test. Rappelez-vous que ce n’est pas un examen où l’on échoue ou réussit. Le test WAIS est conçu pour vous aider à comprendre vos forces cognitives et vos particularités, pas pour vous juger. Si vous êtes anxieuse ou anxieux, il peut être utile de faire une ou plusieurs séances préparatoires pour clarifier vos attentes et décrypter vos émotions qui, rappelons-le, ne sont pas là par hasard.

Par ailleurs, l’appréhension peut être un facteur de stimulation ou un facteur paralysant. Notre compréhension des enjeux et de la neurodiversité nous aide à vous faire mobiliser vos ressources, tout en réduisant les chances de contre-performance.

Le test WAIS est conçu pour les adultes et adolescents à partir de 16 ans. Pour les enfants, il existe d’autres tests adaptés à leur âge, comme le WISC. Si vous vous demandez si le WAIS est le bon test pour vous, contactez Pierre pour vous orienter vers l’évaluation la plus appropriée.

Note: certaines conditions peuvent rendre impossible le passage d’un test: être malvoyant ou malentendant, par exemple. D’autres aspects comme la langue ou la culture (au sens large) peuvent entrer en jeu. N’oubliez pas qu’on évalue votre performance cognitive par rapport à une population de référence. Contactez Pierre Février-Vincent pour toute question liée à ce sujet.

Aucune préparation spécifique n’est nécessaire pour le test WAIS. Il est toutefois recommandé de bien vous reposer avant le test et de vous assurer d’être dans de bonnes conditions mentales et émotionnelles pour passer le test dans les meilleures circonstances possibles.

Certaines assurances complémentaires peuvent rembourser une partie du test s’il est prescrit par un médecin et réalisé par un psychologue reconnu par la Fédération Suisse des Psychologues (FSP). Il est conseillé de vérifier les conditions de remboursement avec votre assurance.

Oui, mieux comprendre votre fonctionnement cognitif peut vous aider à identifier vos forces et vos faiblesses, et ainsi à adapter votre manière de travailler et d’interagir avec les autres. Vous pourrez par exemple certainement mieux orienter votre carrière, mettre en place des stratégies pour améliorer vos relations personnelles ou encore votre relation avec vous-même. « Comprendre de quel bois on est fait » peut également fortement contribuer à sortir des cercles vicieux de culpabilité, d’imposture, d’auto-sabotage, d’anxiété et bien d’autres schémas qui paraissaient jusque-là inextricables.

Non, les stéréotypes sur les HPI, souvent véhiculés dans les médias ou les livres, sont réducteurs et simplistes. Chaque personne avec un HPI est unique, avec ses propres forces et défis. Le test WAIS permet justement de mieux comprendre votre propre singularité au lieu de vous conformer à des idées préconçues. 

Notre rôle consiste également à vous accompagner individuellement, en partant de qui vous êtes et de comment vous fonctionnez, plutôt que de vous balancer un score puis vous laisser vous débrouiller seule dans la jungle des stéréotypes.

Non, la série HPI est une fiction comique qui met en scène un personnage haut en couleur, drôle, grossier et parfois vulgaire. Bien qu’elle soit divertissante, elle ne reflète en aucun cas la réalité des personnes qui ont un HPI. Ce type de représentation, même s’il peut sensibiliser le public au concept de haut potentiel intellectuel, ne permet aucune conclusion sur ce que vivent réellement les personnes neuroatypiques. Les personnes qui ont un HPI sont aussi diverses que n’importe quelle autre population, et il est important de ne pas se fier aux stéréotypes véhiculés par des œuvres de fiction pour comprendre la neurodiversité.

Les personnes avec un HPI peuvent avoir des caractéristiques communes comme une grande curiosité ou un mode de pensée rapide, mais elles n’ont pas toutes les traits exagérés ou caricaturaux présentés dans la série.

Enfin, pour les fans, rappelons que malgré un score très élevé de 160 (score maximal sur l’échelle de Wechsler), le personnage de Morgane ne parvient pas à gérer ses relations personnelles avec le même brio que ses enquêtes, ce qui témoigne d’une véritable complexité entre intelligence cognitive, compétences émotionnelles et gestion des relations humaines.

Il arrive parfois que des personnes soient étiquetées comme HPI par leur entourage ou des professionnels sans avoir demandé cette évaluation, ce qui peut provoquer un choc, voire un traumatisme. Se voir attribuer ce label peut réveiller des émotions complexes, notamment si cela arrive de façon brutale, sans préparation ou compréhension préalable. Si cela vous est arrivé, il est important de ne pas vous précipiter dans la démarche de test de QI. Prenez le temps qui vous est nécessaire, jusqu’à ce que vous vous sentiez pas prête à explorer cette possibilité.

Il peut être prioritaire de consulter un psychologue ou un coach avant de passer un test voir page Neurodivergents. Ces professionnels peuvent vous aider à poser des limites claires et à mieux comprendre vos émotions face à ce type de situation. Ils peuvent aussi vous accompagner dans un travail de réflexion pour que vous soyez mieux préparée quant à l’impact potentiel de ce genre de révélation sur votre vie.

Entrer dans une démarche de test de manière prématurée ou sous la pression d’autres personnes peut être source de confusion ou de mal-être. Il est crucial de s’assurer que cette décision vient de vous, qu’elle correspond à votre propre rythme et à votre propre besoin d’introspection.

La distinction entre HQI (Haut Quotient Intellectuel) et HPI (Haut Potentiel Intellectuel) repose sur des nuances importantes. En général, les HPI sont considérés comme ayant non seulement un haut quotient intellectuel mais aussi des traits de fonctionnement cognitif et émotionnel particuliers qui les rendent souvent neuroatypiques. Par exemple, ils peuvent présenter une intensité émotionnelle, une pensée en arborescence, et des comportements ou sensibilités sensorielles qui les distinguent.

En revanche, un HQI (donc une personne ayant un quotient intellectuel élevé) n’est pas nécessairement neuroatypique. Il ou elle pourrait avoir un QI élevé sans manifester les caractéristiques associées à la neurodiversité, comme les particularités de pensée ou de fonctionnement émotionnel que l’on trouve souvent chez les HPI ou les personnes autistes.

Le terme qui engloberait à la fois les HQI et les HPI serait « personnes à haut potentiel », même si dans la pratique, on l’associe souvent davantage aux HPI. Si on souhaite être plus précis, on peut utiliser le terme « neurodivergent » pour désigner une personne dont le fonctionnement cognitif diffère de la norme (comme les HPI, les autistes, les personnes avec un TDAH, etc.).

Cependant, dire que tous les HQI non HPI sont « neurodivergents » pourrait prêter à confusion, car le terme « neurodivergent » est souvent associé à une différence de fonctionnement cognitive ou neurologique qui s’exprime par des traits visibles ou impactant le quotidien (comme pour les HPI, les autistes, etc.). Un HQI qui ne présente pas ces particularités pourrait ne pas être qualifié de neurodivergent au sens strict.

Donc, pour résumer :

  • HPI = Haut QI + traits de fonctionnement atypiques (souvent qualifiés de neuroatypiques).
  • HQI = Haut QI, mais pas forcément avec les traits associés aux HPI.
  • Neurodivergent = qui dévie de la norme neurologique (inclut HPI, autistes, TDAH, mais pas forcément tous les HQI).


Pour englober ces deux profils, on pourrait parler de personnes « à haut potentiel intellectuel » au sens large, tout en précisant les différences selon le contexte si nécessaire.

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